(Presque) Propre

10 octobre 2012 Agnès Salle de bains

Cela fait quelques mois que je voulais faire un article sur les couches. Je sais que j’en ai déjà parlé mais les besoins évoluent en fonction de l’âge et de l’organisation du quotidien, aussi un petit point me semblait nécessaire…
Bon, la bonne nouvelle c’est que le loustic est (presque) propre donc on utilise beaucoup moins de couches, juste la nuit ou dans certaines situations problématiques (j’ai dit presque).

Tout d’abord pour la nuit, on est passé aux lavables. Au tout début c’était pas une option qu’on avait retenue car les couches ne tenaient guère plus de 4-5h. Mais à passer plus de temps en dehors de la maison la journée on en venait à utiliser très peu de lavables donc on a cherché des couches qui tiennent une nuit pour un bambin de 16kg et ça a été du sport!

  • En cherchant un peu sur internet, j’ai vu pas mal citée la couche Tournesol® mais le fabricant a interrompu la fabrication (enfin peut être a-t-il repris depuis);
  • ensuite j’ai passé commande de couches Popolini® XL: rupture de stock du fournisseur;
  • je me suis donc rabattue sur des Kiddibips® XL, que j’utilise avec une culotte de protection qui s’enfile, solution la plus pratique après moult tests;
  • et depuis (c’est toujours quand on ne cherche plus qu’on trouve!) il y a des couches lavables, même pour grands, à Biocoop: des Piwapee®, que j’ai fait essayer à l’intéressé sans problème.

N.B. Quelque soit le modèle, je glisse un insert récupéré des couches Sweet Lili® que j’ai beaucoup utilisées avant qu’il ne rentre plus dedans, même les XL!

Concernant les jetables, là aussi le parcours a été semé d’embuches:

  • Partis avec des Öko-Moltex®, notre bébé hypertonique a rapidement eu raison de leur résistance;
  • nous avons donc essayé plusieurs marques écologiques dont la plus performante était Nature Babycare®, jusqu’à ce que la fabrication change (parce qu’à son âge ça ne peut plus s’expliquer par un développement psychomoteur spectaculaire, ses dernières acquisitions sont plutôt linguistiques) et qu’elles se mettent également à craquer;
  • et là c’est moi qui ai craqué: ça sert à quoi d’écrire écologique sur le paquet si on ne peut pas se servir (et reservir quand propre) de la couche? Nous avons donc testé un paquet de couches non écologiques dont je n’ai pas besoin de citer la marque tellement elle est connue et depuis (c’était en juillet) on doit en être au 3e paquet, loin d’être terminé. Espérons que ce soit le dernier…

 

 

déchetslavable


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